fabilili a écrit: c est vrai que par moment j ai des flashs et cela crée une panique chez moi
fabilili
Bonjour,
Ceci, vous allez devoir apprendre à le contrôler, c'est un impératif.
Et donc apprendre à gérer vos émotions.
Il y a beaucoup de féminin en vous, c'est intéressant car cela développe votre sensibilité, vos perceptions et votre ouverture au monde mais quand les émotions "remontent" dans les flashs elles vous perturbent et vous déstabilisent.
Quand les flashs apparaissent vous êtes comme dans un état de "transe"(1) où le champ de votre conscience s'élargit et c'est là que les images apparaissent. Si elles sont trop violentes revenez en arrière légèrement et concentrez vous sur la "périphérie" de cette image, ça ira mieux pour vous et c'est là que vous obtiendrez les informations du pourquoi du comment.
Au bout d'un moment le tirage n'est simplement que l'élément déclencheur de vos perceptions.
Si vous voulez développer votre maîtrise et votre confiance vous allez devoir travaillez votre côté masculin, la décision, l'affirmation de soi, l'action, le faire.
Très amicalement.
(1) L'état de "transe" est très subtil et parfois cela prend au dépourvu, vous pouvez y être sans vous en rendre compte ou faire des allers retours intempestifs, c'est un état qui peut être très déstabilisant car vous n'êtes plus dans la réalité tout en y étant encore. Vous êtes dans une réalité augmentée, c'est à dire que vous
percez le voile d'inconnaissance et vous
voyez, c'est ce que l'on appelle perce-voir.
Vous pouvez avoir confiance dans ce que vous percevez, toute la difficulté est de le restituer sous forme de mots surtout quand il y a de grandes incohérences avec les questions posées.
C'est un état que vous devez apprendre à bien maîtriser mais je pense que vous le savez, c'est un impératif d'être tranquille car si dans ces moments vous êtes perturbée par un élément extérieur c'est une horreur. Vous le maîtriserez bien en développant votre part masculine qui vous fera redescendre plus facilement dans le quotidien, dans la réalité du "faire".