'mourir d'envie'
en fait ca fait du bien de le dire, c'est vrai que depuis toujours j'ai eu des grandes admirations pour qques personnes bien spécifiques) pour lesquelle j'avais envie de tout faire, avec un plaisir de contempler ( platonique) avec espoir, mais désespéré car je ne révélais ni n'exprimais jamais rien pourtant j'avais la chance qquepart que ces personnes (3femmes) se sont intéressées à moi). Mais moi lié à un mythe de forcat rejeté, j'étais incapable de penser que ce ressenti pouvait avoir un impact réel, intéressant, transmissible ou source de qqch de structurel et de normal.
Comme dans un espoir platonique que la rencontre unique se fasse dans son absolu, je restais complètement passive. En fait, caricaturalement c'est comme si j'attendais d'être élue de ce ces personnes ou d'être choyée comme un trésor. (attitude contradictoire avec mon caractère plutôt physiquement trop active). Et le plus drôle a m'en souvenir maintenant, c'est que chacune d'elles m' tendu une perche pour m'approcher de leur monde de manière très concrète. j'étais réellement invitée (à y repenser, c'est clair; mon prof m'a proposé de travailler pour elle, Sab m'a invitée deux we chez elle, il en reste une qui m'est lointaine, mais que j'atteins petit à petit) et chaque fois j'étais déçue par mon comportement fuyant par crainte de déplaire. en fait c'est plutôt que je ne savais que dire (j'avais l'impression d'être très vide). EN fait je crois que je planais littéralement comme qqun de shooté, et des qu'il s'agissait de nuances de concret je perdais mes moyens. en fait c'est peut-être "l'effet lune" qui fut plus ma réalité que le reste, et la timidité, et sens de l'esthétique; de peur de railler qqch de beau en moi, en qques sorte marque d'un certain orgueil.
Mon attirance de cette sorte pour ces personnes reste profondément, et constamment je recherche ça. même si j'ai peu de chance de les revoir, ou de rencontrer une personne de leurs acabit, elles sont comme mes reines magnifiques, elles atteignes mon image de la grâce:la classe par la dignité et l'indépendance d'esprit.
Mes romances: Monumentale construction dans la vie. Avec ça moi même (d'après les ouï dire j'étais 'space' ou difficile d'accès) pour la plupart.
Ces 3 femmes j' ai eu la chance de les rencontrer ds la phase la cruel de ma vie psychique. c'était un coup de chance, comme des lumières ds l'enfer). c'était des années " phase écroulement mentale" qui fut une mort pire que la mort, de 94 à 98, j'ai vraiment subit une opération psychique sans anésthésie. Puis j'ai appris bcp de chose, j'ai eu bcp de chance pour trouver le travail qui me convenait...l'AMI aussi, la vie n'est pas ingrate. J'ai pas toujours le morceau du gâteau mais j'ai la cerise.
Puis depuis un an , c'est le coeur qui s'est fissuré, ...et je suis dans l'aventure encore.
mes états d'âme romantiques impossibles se sont tous fixé sur el.
Etant plus aguérie, plus les pieds sur terre, et des envies plus spontanées, j'ai envie de dire que j'ai enfin eu la possibilité de me mettre en face... en fait de mon propre désir....
qui se traduit aujourd'hui en "Une envie d'abdiquer"
Mon beau rêve d'esthétique est en fait une "envie d'abdiquer":
Jean qui rit Jean qui pleure, c'est mon état , mon rire sur moi-même est de me dire que mon élan vers elle n'est qu'une envie d'abdiquer en moi. Entre avoir envie de revivre l'état embryonnaire ou celui de la mort, en fait. bref 'grand mot' tout ça est très nuancé. c'est pas clair, deso je dois redire ca
C'est bien vu Maïna
Merci
entre temps la cigogne a tel. la conversation fut baroque, entre concilation et virulence pas ds la forme mais ds le fond.
Tout ce que je n'ai jamais affronté ds les relations humaines je l'ai ici sur un plateau d'argent. En plus je déteste le conflit alors avec elle je suis tjs pourfendue,mais maintenant avec le sourir (pur).
elle et Moi tout à l'heure c'était pour quoi ?