Salut Sam,
Merci pour ton message.
Oui, à un moment, un déclic se fait et on se dit qu'on ne veut plus d'une histoire qui abîme l'âme. Si je comprends, vous étiez amants, moi je parle d'une amitié de vingt ans qui s'est modifiée petit à petit.
Ce qui m'énerve, c'est ce que j'interprète comme de la condescendance, comme s'il se mettait à ma disposition pour avancer alors qu'au fond, la situation est inversée : c'est lui qui a besoin de moi, c'est lui qui ne lâche pas, cherche à me voir, refuse quand je lui dit que je ne veux pas et que je ne sais pas pour combien de temps.
Je pourrais bien y retomber mais cela ne sera pas le cas car j'ai enfin réalisé qu'en fait, je suis loin d'être unique à ses yeux, il revendique le fait qu'il est complice avec de nombreuses amies. Par contre, ma singularité tiendra peut-être au fait que je lui dise : NON.
Prends soin de toi, beau dimanche!