(suite)
Elle n'a jamais accepté la venue de cette petite sœur et à toujours été jalouse de moi, et malgré tout l'amour qu'il y avait entre nous, j'ai senti une haine larvée à mon encontre quand violemment elle m'a chassée de chez elle le jour de la cérémonie pour notre père, disant qu'elle ne voulait plus me voir, que je n,étais plus sa sœur, me disant des choses horribles sur moi, sur mon fils...
Lors du partage, elle eut des exigences financières non justifiées auxquelles mon frère et moi avons cédé, une fois de plus, pour avoir la paix, pour qu'on en finisse, mais ce n'était jamais suffisant, elle a agressé verbalement le notaire et son clerc, tout cela fut éprouvant.
Parallèlement à cette situation qui a sûrement favorise la chose, en thérapie depuis de nombreuses années, je prenais conscience de la dépendance affective que j'avais vis à vis d'elle et que, je devais me protéger et dire stop!
Ce que j'ai fait, quand une fois plus ou moins calmée, elle m'appelait quand elle avait un coup de blues et comme elle avait l'habitude de faire auparavant et que je la consolais. Je me sentais toujours mal après ses coups de fil, comme si il y avait eu un échange d'énergie, mais j'étais contente d'avoir pu la soulager un peu.
Cette fois-la ce fut différent.
Je restais froide dans mes réponses et la renvoyait à elle même, rigide dans ma décision de me protéger, elle l'a senti et m'a demande si je l'aimais encore, j'ai répondu que je l'avais toujours aimée et que je l'aimerais toujours, mais elle a senti que c'était pas comme avant, pas a caud
Se d'un manque de conviction, car je le pensais et je le pense encore, mais que quelque chose était casse. Elle m'a alors demandé si je lui pardonnais j'ai répondu que oui, mais qu'il me fallait du temps pour oublier...