Maïna,
c'est joli comme prénom.
Non je ne suis pas une personne fragile, je suis une battante et je me battrai pour avoir gain de cause et là tu vois j'ai envie de hurler.
Hurler parce que dèjà c'est trop long et que je souffre depuis mi-juin. J'ai l'épaule de bloquer nuit et jour par une sangle, que j'ai mal, qu'il faut que j'attende pour l'opération un 3ème avis médical (chirurgien) car il n'y a que deux méthodes opératoires pour mon problème et voir laquelle ils pensent faire.
Que la Sécu m'ennuie. Que je vais avoir besoin d'une aide ménagère après l'opération et que l'assistante sociale que je suis allée voir ce matin me dit oui vous y avez le droit mais de votre poche il faudra mettre 10 euros par heure travaillée (50h de prévue pour l'aide ménagre) je n'ai pas 500 euros comme cela surtout que depuis le début j'avance tous les frais et que j'ai énormement d'examens avec des dépassements d'honoraires et autres (488 euros) et ça c'est de ma poche.
Je suis très en colère après le 1er rhumatologue qui a fait un mauvais diagnostic et que le 2ème à suivi jusqu'au résultat de l' IRM qui à montré autre chose. Mais je ne peux rien faire.
Qu'au niveau de ma société, ils ont pris cela en rechute sans attendte la notification de la Sécu, Ok je n'ai pas eu de perte de salaire jusqu'à présent mais en Ocotbre ils vont tout rebasculer en maladie et là je ne sais pas si je serai payé.
Qu'au niveau de ma Société, les bruits courent que je me la coule douce de toute façon je suis payée... mais ils ne savent pas le calvaire que je supporte.
J'ai le médecin du travail de mon côté heureusement. Mais quand je vais revenir je vais aller où... et je vais avoir le droit à la soupe à la grimace
Si je ne me suis pas arrêtée l'année dernière c'est parce que je me sentais bien malgrè mes douleurs et que dans la Société qui m'emploie ce n'était pas le moment de s'arrêter (nouvelle direction, polyvalence etc ) et je devais subvenir aux besoins de ma fille qui était encore à ma charge (études etc). Je suis veuve avec aucune aide à l'époque pour m'en sortir et encore moins maintenant..
Mon médecin m'a dit que même si au moment de l'accident, je n'avais rien ressenti au niveau de l'épaule que de toute façon ce que j'ai actuellement aurait pu venir à n'importe quand. Mon épaule à subi un choc lors de ma chute donc fragilisée et au fil des jours à force de me servir du bras, je me suis agréssée de plus en plus cette épaule jusqu'au déchirement du bourrelet.
En plus de mon travail fixe dans la Société qui m'emploie, je dois depuis Novembre 2008 (a cause de la polyvalence) aider mes collègues, qui elles, répondent et appellent les clients. Depuis janvier 09 nous sommes au chomage partiel (4 jours par mois) nous sommes 5 dans le service. Et il nous arrive à cause de ce chomage de nous retrouver à 2 pour faire le travail de 5. Donc mon épaule gauche a été énormémenet sollicitée ces derniers mois par le téléphone et le bras droit par le clavier informatique.
Voilà ma petite histoire, mais j'espère gagner.
Tar18U:
Merci pour tous
corine