Bonsoir,
ambiance au travail, déplorable. Moi, excédée, fatiguée de voir que personne ne bouge quant à mon problème que voici :
le store de la fenêtre est abîmé (il manque une bandelette) et le soleil tombe à pic sur l'écran et le clavier de l'ordinateur. Ce problème est récurrent, mais la place (mal placée...) est toujours dévolue à la dernière recrue, moi... en l'occurrence !
Malgré les nombreuses remarques des précédents salariés, rien n'a été modifié. Cependant, le "patron" a fait remplacer ces stores (très onéreux) en 2011 ... pour protéger ses tableaux d'art contemporain qui garnissent le grand escalier d'honneur.
Excédée, j'ai donc fait la remarque : mes yeux valent plus que les peintures exposées dans l'escalier d'honneur, et si vous voulez que je continue à travailler, malgré le soleil, il faudra bien vite remplacer le store! Mal m'en prit (je n'avais pas bien mesuré l'atmosphère électrique...), le patron a décidé que "ça en resterait là"! (pas de changement en vue)!
J'ai alors précisé que j'irai consulté le médecin du travail (dont le nom ne figure nulle part dans les panneaux d'affichage obligatoires...), ensuite, j'en parlerai à mon médecin traitant pour être arrêtée le temps que le store soit changé!
Le chef de bureau m'a dit : "Alors si vous voulez aller au clash...!" C'est la porte qui vous attend. C'est ça que vous voulez ?...".
Ma réponse : "Je ne souhaite pas aller au clash, mais s'il faut y aller, et bien ce sera le pot de fer contre le pot de terre ! Ce n'est pas la peine de le prendre sur ce ton-là ! Si je ne fais plus l'affaire, vous n'avez qu'à me licencier ! J'irai au chômage et pendant ce temps-là, je pourrai chercher ACTIVEMENT un nouveau travail !"
L'après-midi, ce même chef me dit sur le ton de la plaisanterie : "Alors, miss, ça va mieux ? Vous ne m'en voulez plus ?"
Ma réponse : "Je ne vous en ai jamais voulu, mais je SUIS (encore...) en colère, parce que je me sens moins respectée que les peintures, et que de plus, ce soleil réfléchissant m'éblouit et me fait mal aux yeux. Je tiens à ma santé".
Tarot, est-ce la goutte qui va faire (bientôt ?) déborder le vase ?
Une période de chômage m'attend-elle ?
Je recherche activement un autre travail, est-ce pour bientôt ?
Faut-il que je prenne patience jusqu'à un départ proche(que je souhaite proche rapide et de meilleure qualité) ?
Par ailleurs, tous les salariés de cette "entreprise" ont eu une augmentation de vie chère de 2,5 % ; la mienne fut réduite à 1,50 % au motif que je ne suis entrée dans cette société que courant 2011 ! C'est une "entorse" au Code du travail !
Dois-je soulever cette disqualification, afin de rétablir mes droits ?
Par avance, merci pour une lecture de ces tirages.
FL