Conctractuel, effectivement, on peut se faire du mouron.
Ton tirage ressemble à un escalier quand je zoom à 64%.
je ne sais pas si par le passé, tu as deja tenté (on va dire oui - roue inversée, pas aidé !), tu devrais trouvé ton chemin (maison dieu) avec ce concours, je l'espère en tout cas.
Même si tu n'avais pas ce concours, dieu n'est pas indifférent à ta démarche professionnelle.
La solution suprême, c'est un nouveau départ avec la victoire dans le plan terrestre. mais il faut persévérer.
En solution, on voit bien qu'il te reste une autre épreuve à passer.(le diable)
Ca pourrait vouloir dire que tu as réussi la première épreuve.
Concernant tes mauvaises pensées, c'est la lune, ou tu traverses un marais.
"Près de la rivière, se trouve le marais empoisonné de Lerne. Dans ce
marécage infect, vit l'hydre monstrueuse, vraie calamité pour toute la région.
Cette horrible créature a neuf têtes et l'une d'elles est immortelle. Prépare-toi
à te battre contre cette bête répugnante. Ne pense pas pouvoir te servir de
moyens ordinaires, car, pour une tête détruite, deux autres repoussent
immédiatement." Hercule était dans l'expectative.
"Je ne peux te donner qu'un conseil. [s]Nous nous élevons en nous
agenouillant[/s] ; nous conquérons en nous rendant ; nous gagnons en cédant.
Va, ô fils de Dieu et fils d'homme, et conquiers." Hercule passa alors par la
huitième Porte.
Le marais de Lerne inspirait de la répugnance à tous ceux qui s'en
approchaient ; sa puanteur empoisonnait toute l'atmosphère à sept lieues à la
ronde. Quand Hercule approcha, il dut s'arrêter, car la seule odeur fut presque
trop forte pour lui. Les sables mouvants vaseux constituaient un danger et,
plus d'une fois, il retira vivement son pied, de peur d'être absorbé par le
terrain qui cédait.
Dans ce test suprême,
on ne saurait nier la puissante image du disciple tombant humblement à
genoux et soulevant le monstre (toutes les mauvaises actions, les fautes et les
échecs accumulés pendant son long passé) dans l'air de l'esprit où, de part sa
nature même, l'hydre ne pouvait vivre ; ainsi, elle dépérit et mourut.
Tant qu'Hercule lutta dans le marécage, dans la boue et les sables
mouvants, il fut incapable de vaincre l'hydre. Il dut soulever le monstre dans
les airs, c'est-à-dire transférer son problème dans une autre dimension afin de
le résoudre. En toute humilité, agenouillé dans la vase, il dut examiner son
dilemme à la lumière de la sagesse et dans l'atmosphère élevée de la pensée
investigatrice. [25@69] Nous pouvons déduire, de ces considérations, que les
réponses à beaucoup de nos problèmes ne nous parviennent que lorsqu'un
nouveau foyer d'attention est atteint, qu'une nouvelle perspective est établie.