Hello Sancon,
Tes lames me font penser à un enfermement ou plutôt à un attachement qui d'un premier plan pesant au passé, se transforme en quelque chose d'égalitaire en ce moment pour s'en aller tout doucement, relégué au second plan où on sent un souffle de liberté s'agiter tout doucement dans ton paysage...Comme s'il fallait laisser mijoter quelques ingrédients à feu très doux pour leur enlever leur acidité et pouvoir mieux les digérer ensuite
Le tout sans problème majeur
Peut être qu'il faut ça pour qu'apparaisse Le Compagnon?
Sur ce jeu-là c'est plus des sensations qui me parlent que des actions ou des faits à venir
comme s'il fallait "sentir" les lames et non pas les lire