LOL
comme c'est gentil, mais je pensais avoir été clair... bien sûr que j'ai du recul par rapport à tous ça.
et puis, pasdebol, ma "souffrance", comme tu dis, c'est pas une souffrance, c'est la valeur actuelle la plus sublime : le manque.
à une époque où celui-ci est censé ne plus exister (tout est à consommer tout de suite, surtout pas de manque!), et bien, D. me l'offre, comme un diamant.
chaque seconde de manque est comme une éternité d'amour.
(bon, je me calme...
)
isidore
un yin, un yang, et cela, sans fin.